-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

 :: Campus de Ehwa :: Ancien Palais Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Starry night ❇

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant
Chollima
Ho Jae Sun
Alohomora





Ho Jae Sun
Chollima
20/4/2018, 10:00 pm


It's been a long day








+++ Il est là, dans tes bras et toi dans les siens. Tout est réel même si ton esprit te laisse croire le contraire. Tu ne pouvais pas te sentir mieux. Tu te lèches les babines le regardant discrètement de haut en bas. Malgré ses vêtements, beaucoup trop à ton goût, tu devinais ses courbes, te faisant saliver davantage. Tes jambes enlaçaient sa taille alors que tu te satisfaisais de tes caresses sur sa peau légèrement halée. Ses yeux bleus étaient si perçants que tu ne pouvais rien lui cacher. Ton désir montait et il le savait parfaitement, il le sentait même. C’est timide, face à son sourire quand tu caches ton torse, que tu tournes la tête expulsant un soupir aigu gêné. Un petit sourire se dessine alors sur tes lèvres quand tu te retournes vers lui. Tu es distrait par sa main qui parcoure ton bras pour se déposer un instant sur ta poitrine. Ta langue glisse sur le coin de ta lèvre quand le bas de sa paume frôle ton téton qui durcit. Tu le désires tellement qu’aucuns mots ne sauraient l’exprimer. Submergé par tes sentiments, tu en as marre des mensonges alors tu lui avoues ce que tu avais toujours secrètement su. Il ne répond pas à ta déclaration et tu ne peux le nier, dévasté, ton cœur se serre. Jamais tu n’aurais cru qu’un homme t’attirerait autant. Tu ne savais pas si tu devais continuer sur cette voie ou si tu devais t’arrêter. Mais comment arrêter quand on en à pas envie. Tu n’arrivais plus à réfléchir, tes neurones étaient anesthésiés et, par-dessus tout, tu redevenais l’animal primitif que tu avais toujours été. Cette soif que tu avais pour lui, te rongeait follement. Tu ne peux t’empêcher de l’embrasser. C’est le seul geste que tu connais par cœur. Tu ne reste pas longtemps sur ses lèvres. Tu descends, mordant sans y mettre trop de pression pour ne pas lui faire mal, le rebord de sa mâchoire. Tu aimes y aller doucement, ne voulant rien presser. Tu voulais aussi connaitre ses limites, jusqu’à quand Ryu allait-il résister. Ce n’est, finalement, que quelques secondes plus tard que ton amant t’allonges au sol, sur la pierre dure et froide. Lorsque ton dos touche le sol glacé, tu le remontes par réflexe cognant le ventre de Ryu créant une légère onde de choc entre vos peaux. D’entre tes dents serrées s’échappe un sifflement aspiré signe de ce choc thermique intense. Il t’embrasse avec fougue. Tu aimes la sensation de sa langue chaude dans ta bouche. Tu gémis bruyamment lorsqu’il redescend vers ton cou, te laissant des suçons et des marques de morsures. Tu voulais qu’il y aille plus fort, qu’il ne se retienne pas tout  en sachant que le lendemain des bleus allaient se former autour de ces marques. Il te rapproche de lui, ne laissant place à aucune pudeur. Tu descends tes mains sur les cotés de ses hanches, les passant sous son t-shirt alternant entre le creux de son dos et ses fesses. Ton ventre monte et s’abaisse rapidement en même temps que l’air remplit et s’échappe de tes poumons. Tu le contractes, surprit, quand ton ami passe la main dans ton caleçon. Tu te sentais comme sa proie qu’il allait dévorer d’ici peu. Ce n’était pas qu’une impression, cette fois-ci, tu étais le chasseur chassé. Perdu, n’ayant ni repères ni expériences, tu te laissais faire. Il commence les vas et vient mais tu n’arrives plus à contenir tes grognements. Tu fermes les yeux en expirant de plaisir. Tu te mords les lèvres gémissant d’envie. Ton bassin accompagne ses mouvements. Tu rouvres les yeux, quand il découvre totalement ton membre, les baissant vers l’action principale. Ca t’excitait de voir sa main nervurée et masculine s’emparer ainsi de ta queue. Il augmente l’allure tout en t’embrassant ne te laissant aucun répit. Tu voulais t’y mettre toi aussi, le laisser faire, le soumettre, que vous alliez plus loin. Pourtant tu ne pouvais pas. Tu grades les yeux ouverts cherchant désespérément à croiser son regard, mais rien. Tu ne voulais pas être sa nouvelle lubie. Son dernier jouet. Tu te méfiais. Son comportement avec toutes ses conquêtes, pourquoi tu serais différent ? Avait-il déjà baisé un autre homme ? Cette pensée te laissait un gout amer en bouche. Tu voulais être le seul mais comment pouvais-tu en être sûr ? Tu gémissais fébrile contre sa bouche le laissant savoir qu’il faisait du bon boulot. Tu rassemblais toutes tes forces restantes pour poser ta main sur son poignet, et tu faufiles tes doigts entre les siens et ta bite pour qu’il défasse son étreinte. < Nannn… > Parviens-tu à murmurer, gémissant, contre son philtrum humide. Tu entrelaces tes doigts dans les siens pour qu’il ne puisse pas reprendre ce qu’il avait commencé, persuadé de ne pas réussir à lui résister une seconde fois. Tu ne pouvais pas le laisser continuer. Il était bien le seul à pouvoir te blesser et tu ne voulais pas qu’il te brise le cœur... C’était peut être aussi que tu préférais l’idée qu’il soit, lui, à ta merci plutôt que toi ?






illo
Revenir en haut Aller en bas
Professeur de potions
Ryu Joo Han
Alohomora





Ryu Joo Han
Professeur de potions
20/4/2018, 10:07 pm


It's been a long day








+++ Il ne s'était même pas rendu compte qu’il avait ignoré son je t aime … Non pas qu’il ne partageait pas ses sentiments mais parce qu'il l’aimait tellement que sa pudeur prenait le dessus. Ce n’est pas qu’il n’assumait pas ses sentiments mais Joo Han n avait jamais pu le dire. Ni à sa famille ni à ses conquêtes. Il réalise aussi qu'il na jamais été amoureux avant ce soir. Avant lui. Avec de succomber à ses grands yeux. Comme si finalement il lavait, dans le fond, toujours été. Amoureux de ce gosse depuis d toujours. L’éternité semblait même être bien trop court à cette idée. Il se perd dans son étreinte désirant son corps, son cœur mais se fait rapidement stoppé par le plus jeune. Oh il pouvait sentir à quel point il aimait ça … mais il y avait une lueur étrange  dans son regard. Une réticence. Était il aller trop loin ? Il était pourtant évident pour le plus vieux que ses caresses étaient agréable pour Jae Sun. Se trompait il autant ? Il retire délicatement sa main à contre cœur et lève Son regard vers le garçon en mordillant sa lèvre pour calmer ses ardeurs. Pourquoi non ? Il essaye de comprendre.  Il attrape sa joue et l’attire a lui pour l’embrasser tendrement. « Hey… » souffle-t-il. Il caresse son torse doucement prenant son temps, assez pour le découvrir et s’imprégner de cet instant. Il vient embrasser sa joue et se redresse pour l’asseoir sur son bassin confortablement. Il souffle un sort pour le réchauffer et le garde torse nu. Il dépose des baisers sur sa peau et lui mordille parfois en levant les yeux vers lui. « J'ai été trop vite pour toi ? » il caresse sa clavicule du bout de son doigt et vient y déposer un léger baiser. Voulant le rassurer mais ayant du mal avec les sentiments à avouer il choisit les mots qu'il sait suffit pour faire du bien à son amant. « peut être que je ne m'y suis pas bien pris … ? Je n'ai pas l’habitude de toucher un homme … c'est la première fois. » Il esquisse un léger sourire alors que ses deux mains épousent la forme du dos de Jae Sun pour mieux le rapprocher de lui afin de le blottir contre son torse. Il embrasse son épaule et remonte à son cou alors que ses ongles viennent griffer la peau du plus jeune pour attiser ce désir latent. Il sait que c'est toujours là. Sous sa peau. Il remonte ses lèvres sur sa mâchoire et mordille doucement sa joue. « Tu me rends dingue … j’ai envie de toi … » murmure t il avant de redresser son visage vers le sien pour croiser son regard. « Tu m'aimes à quel point … ? » souffle t il pour lui montrer qu’il l’avait entendu et que c’était sa façon à lui de lui répondre … je t'aime aussi ….

illo
Revenir en haut Aller en bas
Chollima
Ho Jae Sun
Alohomora





Ho Jae Sun
Chollima
20/4/2018, 10:11 pm


It's been a long day








+++ Ton corps était prit en sandwich entre la chaleur brulante de Ryu et la fraicheur glaçante du sol. Ca ne te déplaisait pas, au contraire, ça t’était étrangement délicieux. Ce contraste rendait ta peau encore plus sensible. Tu aurais aimé ne pas trop réfléchir, et pouvoir céder avec facilité sous ses mains, mais, ça t’était impossible. Jamais tu n’avais pu mettre le holà sur ses agissements, n’ayant pas une place assez légitime dans sa vie pour le forcer à arrêter de jouer avec ton petit cœur. Alors tu le voyais enchainer toutes ces filles comme des brochettes. Tu n’avais pas le droit de lui faire des crises de jalousies, ni te t’énerver. Pourquoi ça t’aurait autant touché, après tout vous n’étiez que meilleurs amis… Pourtant, ça te touchait et encore plus que tu ne l’avais imaginé. Bien sûr tu extériorisais ton mécontentement, mais ce n’était qu’à coups de taquineries et de réflexions parfois trop sèches. Joo n’était pas fautif, au contraire, comment aurait-il pu l’être ? Il vivait sa vie tout comme toi. D’ailleurs, ce n’étais peut être pas un hasard si toi tu te pavanais aujourd’hui, sous ses yeux, avec une jolie fille à ton bras. Une sorte de petite vengeance ? Tu n’étais pas comme ça, rancunier, mais en amour tout est possible. Il n’y a jamais qu’une cause à nos actes et peut être que, dans ton cas, un peu de vengeance se mélangeait à toutes les autres. Inconsciemment tu t’en voulais d’agir pour le blesser, même si ce n’était qu’une toute petite partie des raisons pour lesquels tu avais accepté d’avoir une copine. Tu voulais le blesser comme lui t’avais blessé. Consciemment, tu t’en voulais de douter de lui. Tu lui faisais confiance pour tout. Tu mettrais ta vie entre ses mains. S’il te demandait de faire quelque chose de complètement fou, dangereux, ou au premier abord inconsidéré, tu le ferais sans poser de questions sachant qu’il a une bonne raison pour te le demander. Mais. Parce qu’il y a toujours un mais. Tu n’arrivais pas à lui céder entièrement ton cœur. Depuis trop loin pour que tu t’en souviennes, il lui appartenait déjà sans que ni l’un ni l’autre ne le sachiez. Déchiré par tes sentiments refoulés et par la jalousie, Ryu allait devoir récupérer toutes les pièces éparpillées de ton cœur avant que tu ne puisses être totalement à lui. Tu t’en voulais de ressentir ça. C’était sa faute, à Joo… Il t’avait montré de quoi il était capable et, malheureusement, ce n’avait jamais été ce que tu attendais de lui. Tu n’étais pas sûr qu’il puisse passer une vie entière à aimer quelqu’un. Ce n’était pas de sa faute et tu le savais, aussi. Personne n’avait, juste, été comparable à toi auparavant. Alors tu souffrais en silence, rongé par la culpabilité de ce que tu ressentais à son égard.

Faisait-il preuve d’autant de tendresse avec ses amants ? Ses gestes étaient si doux et si… Différents. Tu hurlais intérieurement. Comment parvenait-il à te calmer en un seul mot, un souffle. Tu reposes ta tête au sol, savourant son toucher sur ton torse comme si c’était le dernier. Ca pouvait peut être l’être après tout… il t’embrasse la joue avant de t’assoir à nouveau sur lui. Tu baisses la tête, n’osant pas le regarder dans les yeux. Ta bouche s’assèche, alors tu humectes tes lèvres. Il murmure quelque chose et tu sens une chaleur agréable t’entourer. Trop vite ? Tu déclines secouant doucement la tête de gauche à droite. Tu déglutis quand il t’embrasse la clavicule. Rapprochant ton visage du sien, tu poses ton front sur le sien en souriant l’air coquin, te mordant la lèvre. Pour répondre à sa question tu ris en un soupire. Tu déposes un baiser fugace sur ses lèvres puis t’éloignes de quelques millimètres. < Nan, t’es très doué… > dis-tu l'air un brin lubrique. Quand il te rapproche tu veux te blottir davantage contre lui, alors tu l’enlaces passant tes bras au dessus de ses épaules. Tu ne peux t’empêcher de le taquiner, même dans un tel moment. < C’était la première fois ? T’as dû t’entrainer souvent sur toi, alors… > Tu te retiens difficilement de rire, montrant toutes tes dents dans un large sourire. Tu lui fais un bisou esquimau avant de caresser sa joue du bout de tes lèvres. Plus sensible, chatouilleux, quand il dépose un énième baiser sur ton cou tu sens des guilis. Ca te fait baisser ton épaule, fuyant sa bouche. Tu lâches, même, un petit cri aigu, comme un enfant. Tu reprends contenance quand il mordille ta joue et titille ta mâchoire. Ses mots relancent ton érection qui s’était légèrement calmée. T’en rougit. Il te force à croiser son regard. Tu ne t’attendais pas à ses deux dernières phrases, mais elles t’excitent tellement. Tu ne peux plus nier l’effet qu’il te fait. Tu aurais espéré entendre d’autres mots, qu’il répète les tiens, mais ce n’était pas son genre.

Ses derniers mots tu les entends plus comme une provocation plutôt qu’une déclaration. Tu n’avais pas été satisfait de toi. Trop dépendant de lui, de ses baisers. Tu ne voulais pas qu’il garde un souvenir de toi, passif. Tu es haletant, décidé à avoir plus. C’est avec empressement que retires tes bras d’autour de son cou et que tu agrippes son t-shirt au niveau de sa taille pour lui retirer, le lançant avec trop d’entrain… Il atterrit en bas de la tour d’astronomie… Tu mets tes mains devant ta bouche en comprenant ta gaffe. Et puis zut, tu t’en fous totalement. Tu reposes ton regard sur lui, te mordant les lèvres admirant son torse dénudé. Tu poses tes mains sur ses épaules, les caressant délicatement. Tu lèches la peau juste en dessous de sa gorge. Tu descends déposant de petits baisers, puis remonte léchant les zones que tu venais d’embrasser. Tu t’arrêtes dans le creux de son cou le suçant bruyamment. Tu recules à peine ta tête pour que sa peau se soulève un peu, prise par l’effet de succion. Tu y laisses une belle marque rouge. Tu t’en lèches les babines. Pendant que tu redescends, cette fois sur son pectoral, tes mains s’approchent dangereusement de son pantalon. Tu arrives sur son téton que tu suces avec délicatesse, sans trop de pression, juste assez pour le faire gémir. Tu déboutonnes son jeans et dé-zippes sa fermeture éclair. Ta main frôle par inadvertance ta bite, ce qui te fait frémir. Tu expires contre sa peau, ta respiration saccadée par l’excitation. Tu alternes les mouvements de succion avec des léchages du bout et du plat de la langue. Tu caresses, par-dessus son pantalon, l’intérieur de ses cuisses. Tu t’attaques à l’autre téton, ne voulant pas faire de jaloux. Tu hisses tes mains sur ses hanches et les faufiles entre sa peau et son caleçon. Il s’attendait peut être à ce que tu enlaces sa queue mais tu empoignes ses fesses. Tu en masses une tirant légèrement dessus, l’écartant de l’autre. Tu glisses, au début hésitant puis résolu, ton majeur entre ses fesses. Tu effleures son trou, tapotant dessus et autour, pressant sur l’entrée sans rentrer. Tu ne sais pas ce qu’il ressent… S’il aime ou pas, si tu le fais bien, si c’est ainsi que l’on doit faire ou si ça ne provoque aucune satisfaction… Tu reposes ta main là où elle était quelques secondes plus tôt, sur sa fesse libre. Sans transition, tu passes de son téton, que tu embrassais, à son lobe. Tu expires par tes narines soufflant de l’air chaud dans le creux de son oreille. Tu joues avec son lobe. Tu le mordilles, du bout de ta langue tu le fais se balancer claquant la salive dans ta bouche. Tu laisses échapper un gémissement rauque. Tu fais passer ta main de sa fesse à son entrejambe. Tu frottes, du plat de ta main, son pénis caché dans son caleçon. Tu n’en peux plus. Tu lâches tout, te redressant. Tu le regardes, les yeux fiévreux d’envie. D’une main tu le plaques sauvagement contre le mur. Tu ne contrôles pas vraiment ta force. Tu sens sa cage thoracique danser sous ta paume. Son cœur, sa respiration, tout est si rapide. Tu te recules. Ton bras, tendu, faisant le pont entre vos torses. Tes jambes sont par-dessus les siennes. Tu t’es suffisamment éloigné pour tirer sur son pantalon. Ryu se soulève pour t’aider à le faire glisser le long de son bassin entrainant son caleçon avec. Il est nu jusqu’aux genoux. Il rabat ses jambes vers lui pour tout enlever, pendant que tu t’agenouilles. Tu salives de le voir ainsi. Il est très bien monté… Tellement bien que tu en es assez intimidé. Il est nu, oui, mais il n’est pas vulnérable. Il avait une telle emprise sur toi que rien ne pourrait le rendre faible ou fragile à tes yeux. Tu poses tes mains sur ses genoux exerçant une petite pression dessus pour qu’il pose ses jambes à plat. Tu te penches en avant et déposes des baisers, les uns après les autres descendants le long de son menton, de sa pomme d’Adam, dans le creux entre ses clavicules, puis te recules à nouveau. Tu prends encore un peu plus de recul. Tu t’inclines passant devant sa bouche et son torse sans t’arrêter. Tu déplies tes jambes soulevant ton cul. Tu suçotes goulument l’intérieur de ses cuisses. Tu embrasses tout autour de sa queue. Tu te retiens de ne pas la prendre tout de suite en bouche. Tu caresses ses cuisses. Tu lèches la base de son membre, sans monter trop haut. Tu laisses des bisous sur son pubis. Mais tu ne plus te contenir. Tu attrapes sa verge et souffles sur son gland. Tu presses tes lèvres contre celui-ci. Ta langue balayes la surface chaude, titillant son urètre, accélérant à chaque fois plus. Tu enfonces tout le gland dans ta bouche. Tu fais des cercles avec ta langue autour de sa couronne tout en commençant les mouvements de vas et vient avec ta main. Un peu de ta salive coule sur ta main, en temps normal tu en aurais été dégouté mais là, tu n’y prête même pas attention. Ta langue joue avec son gland alors que tu tentes d’aspirer l’air restant dans ta bouche. Tu recules la tête, sortant sa bite de ta bouche, faisant du bruit. Tu le regardes essuyant ta bouche avec ta langue. Tu reprends ton souffle avant de remettre sa queue en bouche. Tu n’arrives pas à la prendre jusqu’à la moitié, mais tu ne te décourages pas continuant les vas et vient de ta bouche, et la parcourant de ta langue. Tu gémis de plaisir contre son membre. Tu la retires de nouveau pour y déposer des baisers et des suçons un peu partout, ta main ayant reprit les mouvements que faisaient ta bouche. On entendait que des bruits de salives, de peau qui claque et de désir. Tu était tellement grisé, dépourvu de toute inhibition.






illo
Revenir en haut Aller en bas
Professeur de potions
Ryu Joo Han
Alohomora





Ryu Joo Han
Professeur de potions
21/4/2018, 10:37 pm


It's been a long day








+++ L’intensité de leur échange lui coupe le souffle. Il n’aurait jamais cru que leur sens puisse les faire céder ainsi, laissant littéralement libre cours  à leur envie. Celles primaires. Celles qui les tenaient en haleine. Qui leur tordaient le ventre et qui les faisaient grogner. Animal et amant. Un savant mélange qui l’enivrait à tel point que Joo Han avait du mal à se contenir. Il avait du mal à se souvenir de l’endroit où ils étaient, du danger que cela représentait comme si au fond de lui il se disait tant pis, j’ai attendu ça toute ma vie, je suis incapable de me détacher de lui. Comment aurait-il pu ? Alors que le plus jeune prenait soudainement les devants. Le dominé dominant. Il donnait le ton et Joo Han comprit à cet instant que le plus ne serait jamais le seul dominé et un frisson lui parcouru l’échine à cette  idée. Un frisson de plaisir, d’impatience. Ça lui retourne le ventre et ça lui donne envie de plus. Beaucoup plus.  Et c’était exactement ce que lui donnait le  plus jeune. Il se laisse faire quand Jae Sun lui retire son t-shirt et qu’il le jette avec entrain loin d’eux.

 
Il ne peut s’empêcher de lâcher un rire en voyant son haut passer la fenêtre pour sûrement finir sa course sur le sol au pied de la tour … il ne s’en inquiète pas, parce qu’à cet  instant Jae Sun lui donnait l’impression qu’ils pouvaient être les rois du monde, les rois de leur monde. Qu’il pouvait tout faire, tout combattre, tout vaincre … et si ce n’était qu’un leurre alors il comptait bien se voiler la face jusqu’à s’en lasser. Si un jour il était capable de se lasser de cette euphorie dans les bras du garçon. Il respire son parfum comme si sa vie en dépendait. Il embrassait sa peau et lui mordillait pour marquer ce corps qui lui appartenait, autant que Joo Han pouvait décemment être le roi de son cœur. Il frissonne et lâche des gémissements de plus en plus lourds, de plus en plus bruyants. Son corps entier semble sur le point d’exploser sous l’attention que lui porte Jae Sun.
 
Il cède docilement, sans savoir jusqu’où ils iront. En vérité, pour Joo Han, ils étaient déjà allés bien plus loin qu’il ne l’aurait jamais imaginé. Pourtant il n’aurait fait cesser ça pour rien au monde. Au contraire, il gémit et pose son regard grisé sur son amant bien décidé à lui faire du bien ... Il couine malgré lui en sentant cette intrusion qu’il n’avait jamais ressenti, permis, ni même penser vivre… tout ça c’était sis soudain, si irréel … Il grogne d’inconfort. Pourtant le plaisir malsain qu’il ressent à cet instant lui donne envie de beaucoup plus. Il fallait que le plus jeune le touche, qu’il fasse quelque chose, où il se consumera de désir sous ses  yeux. Un feu ardent brûlait sous sa peau.  Il a l’impression de chuter de cette tour et de tomber dans le vide, sans fin. L’engloutissant, lui, ses sentiments et ce que lui faisait ressentir le plus jeune. Il regarde Jae Sun prendre son temps de l’attiser, de découvrir son corps … Ses cuisses, son torse, son ventre … tout son corps est à sa merci et Joo Han n’a jamais laissé quelqu’un le posséder, le marquer, le découvrir autant …
 
Et finalement la bouche de Jae Sun épousait goulûment la forme de son membre avec une perfection évidente, tant que le plus vieux se surprenait à se dire qu’ils étaient fait pour se rencontrer. Ses lèvres innocentes et ce sexe tendu vers lui comme un appel à l’indécence … Sa main se crispe sur les cheveux de Jae Sun, et dans un respect teinté d’intensité il serre les doigts sur ses mèches pour l’inviter à le prendre d’avantage dans sa gorge. Il mesure ses gestes parce qu’il aime Jae Sun parce qu’il ne veut ni le blesser ni l’humilier, mais bon sang que c’est bon. Il se fait violence pour ne pas donner des coups de bassin entre ses lèvres. Il souffle un peu plus fort et se redresse assez pour venir tirer sur les vêtements du plus jeunes et le mettre totalement nu. Il l’attrape par la nuque pour l’inviter avec une certaine autorité à le reprendre en bouche. Donnant des petits acoups pour le faire avaler le plus possible. Cette bave ne le dégoûte pas, bien au contraire, possédé par la situation il l’admire et bande encore plus fort pour lui. Il donne des coups plus rapide avant de le libérer, à peine quelques secondes, pour que ses lèvres viennent l’embrasser avec passion.
 
Il ne perd plus de temps, savourant chaque instant avec une telle soif d’amour et de désir qu’il a peur de s’en brûler les ailes. Il se glisse hors de l’alcôve pour pouvoir se tenir debout et attire Jae Sun sur le rebord. Il se glisse entre ses cuisses désormais nu et colle leur bassin. A bout de souffle il quitte ses lèvres à regret et siffle de sa voix cassée «  où t’as appris à sucer … ? » pendant une seconde un éclat de jalousie fait vibrer le bleu intense de ses yeux alors qu’il encre son regard à celui du plus jeune. Tu m’appartiens Jae Sun lui criait son corps tout entier. Il colle son front au sien cherchant son souffle. Ses doigts crépitent sur  la peau de Jae Sun et de léger éclat de lumière se font voir. Il les fixe surpris … il n’avait jamais atteint un degré d’intimité aussi fort avec aucune de ses anciennes amantes pour réussir ça … Il affiche son premier sourire tendre en venant glisser ses mains sur le torse de Jae Sun plus fin et délicat que le sien mais qu’il n’avait rien à envier aux autres. Les éclats de lumières suivent chacun de ses mouvements diffusant une chaleur douce sur sa peau.
 
« Tu le sens toi aussi … ? » sourit-il en remontant le bout de ses doigts jusqu’à son cou. Il caresse sa cuisse de sa main libre et remonte jusqu’à son sexe qu’il prend en main pour venir le masturber alors que ses lèvres  se collent aux siennes. « J’ai envie de toi Jae … » souffle-t-il en mordillant les lèvres luisantes du plus jeune.  Bon sang que c’était bon de pouvoir sentir son corps nu contre le sien. Il bouge son bassin contre le sien et crispe sa main libre sur le galbe de ses fesses rebondies par sa position assise. Il le soulève brusquement en enroulant ses jambes sur ses hanches et le plaque au mur à l’opposé. Il dévore ses lèvres avec cette fureur d’amour contenu  depuis trop longtemps et grogne de plaisir. Ce n’est qu’à l’instant où il s’apprête à glisser un doigt en son amant qu’il entend les bruits de pas.
 
Fait chier.
 
Il plaque sa main sur la bouche de Jae Sun et lui fait signe de se taire. Il regarde en direction des escaliers et repose Jae Sun à regret pour guetter l’arrivée de ce visiteur inopportun. Son sort toujours en place, ils sont invisibles à l’œil curieux qui les interromps mais ils doivent pouvoir rester silencieux. Il fait signe à Jae Sun de se taire le plus possible et aperçoit l’un des préfets des Kyubi guetter les lieux suspicieux. Sa baguette en main Joo Han s’assure de rester dissimuler et fait du bruit plus bas dans les escaliers pour détourner l’attention du préfet. Sa main libre toujours accroché à la nuque de Jae Sun comme pour le protéger et le garder près de lui, Joo Han se tourne vers lui en venant poser son front contre le sien. « Je suppose qu’il va être l’heure de rentrer Jae Sun… » Mais sa tête lui tournait encore et son corps réclamait d’avantage les caresses de son nouvel et unique amant … et ses réelles envies de trahissaient dans la façon qu’il avait de chercher ses lèvres à la fin de sa phrase, et dans la façon dont son corps se tend contre lui. 
illo
Revenir en haut Aller en bas
Chollima
Ho Jae Sun
Alohomora





Ho Jae Sun
Chollima
22/4/2018, 6:50 pm


It's been a long day








+++ Tu avais quelque chose sur le bout de ta langue. Son plaisir. Sa jouissance. Sa soumission ? Il se laissait faire avec une telle docilité... C’était bizarre venant de Joo. Il n’était pas un chien à qui l’on peut apprendre à faire le beau. Non, Joo était sauvage, indomptable et pourtant le voilà assit devant toi, plus serein que jamais. Comme si, pour toi, il était prêt à rendre les armes. Avec un appétit féroce, tu en profites pour faire ce dont tu avais toujours voulu mais que tu t’interdisais de faire. La sensation de sa peau brûlante témoignait de son état et tes gémissements, que l’on pouvait presque confondre avec des pleurnichements, témoignaient du tien. Il te laissait parcourir sa peau, te laissait t’immiscer entre ses cuisses. Tu n’arrivais pas à penser à autre chose que lui. Il était encore pire qu’une obsession. Tu avais l’impression d’être, malgré tous tes efforts, soumis à lui. Pour certains tu étais son conquérant. Tu le marquais. Tu l’avais sous l’emprise de tes baisers. Mais, finalement, c’était l’inverse. Il te permettait de faire tout ce que tu lui faisais, mais, s’il voulait tout arrêter tu n’aurais pas d’autre choix que de t’éloigner. Il était le maitre de ton jeu et toi du sien. Vous étiez en symbiose parfaite. Rien ne pouvait vous détrôner ni vous surpasser.

Il passe ses doigts dans tes cheveux. Tu gémis davantage. Tu t’appuies sur ses cuisses, ta bouche n’étant, alors, plus que la seule partie de toi caressant son pénis. Tu approches ta main de ta bite, l’effleurant de tes doigts. Impressionné par son membre d’une longueur supérieure à la moyenne tu n’oses pas le prendre davantage, mais avec douceur et fermeté ton amant te fait comprendre que ton geste ne suffit pas. Tu dois le gober encore plus, pas juste le survoler. C’était un geste si familier et si nouveau à la fois. On te l’avait déjà prodigué, tu en avais vu, mais jamais tu n’aurais pensé en faire un jour. Tu savais ce que tu aimais donc tu le reproduisais tant bien que mal. Pour jouer, tu glisses délicatement ta langue sur son frein pendant que Ryu rapproche légèrement ta tête de son entre jambe. Tu te concentres pour parvenir à l’engloutir le plus possible tout en essayant de faire des 8 sur sa longueur avec ta langue. Ca n’était pas facile. Parfois ta langue s’arrêtait quand tu tentais d’enfoncer à chaque fois un peu plus son membre. Lorsque tu t’en rendais compte tu tâchais de reprendre rapidement ton geste. Tu faisais de ton mieux, et pour une première fois tu t’en sortais à merveille. Tout ce que tu voulais c’était le faire jouir. Il se redresse pour te déshabiller totalement enfonçant, malgré lui, son bassin dans ta gorge. Tu déglutis, pressant ta langue sur sa verge et sa verge sur ton palais. Tu te retires légèrement, craignant de t’étouffer. Reprenant à peine ton souffle, tu reconnais ton Ryu qui t’ordonne en un geste de reprendre là où tu t’étais arrêté. Le prendre aussi profondément te laisse une sensation désagréable dans la gorge, l'impression que tu pourrais régurgiter ton dîner sur son pénis à tout moment. Tu as presque envie d’arrêter, mais il aime ça. Sa main sur ta nuque te donnant le rythme t’insupporte presque. Tu n’aimes pas te sentir sous le joug de quelqu’un. Tu étais satisfait quand c’était toi qui dominais son plaisir, mais maintenant tu n’es presque plus qu’un outil dont il se sert, du moins c’est ce que tes pulsions dominatrices te disent. Mais il aime ça. Et toi, tu l’aimes. Tu ferais tout pour le satisfaire, même si ça voulais dire réprimer tes pulsions primaires et ton désir de tout contrôler. Tu veux lui montrer que tu peux y arriver. Tu y vas de plus belle. En un dernier souffle tu plonges vers son entre jambe aspirant comme jamais sa queue. Tu es presque soulagé quand il décide de t’embrasser. Ta bouche est baveuse et votre baiser colle laissant des filaments de salive entre vos bouches, mais tout ce qui t’importe c’est la chaleur et la douceur de votre passion.

< Quand on a envie de manger une glace, ça vient naturellement... > Ta phrase pouvait sembler lubrique et taquine mais c’était surtout ta façon à toi de lui dire que tu avais envie de lui à en crever. Tu fermes les yeux quand il se pose sur ton front. Tu les rouvres, surpris d’apercevoir des éclairs de lumière qui apparaissent à chaque fois que tu sens un léger picotement, à peine perceptible. Tu regardes Ryu l’air étonné. Tu n’avais jamais vu ça. Tu lui souris sans parvenir à lui répondre. Il te prend au dépourvu en agrippant ton pénis. Tu gémis bruyamment, la bouche ouverte, faisant vibrer avec profondeur toutes tes cordes vocales. Tu gémis contre sa bouche submergé par le plaisir pendant qu’il t’embrasse. Tu te mords la commissure des lèvres. Ton bassin accompagne les mouvements de ton professeur. La seule réponse que tu parviens à offrir à Joo c’est ton membre plus dur que jamais et un soupir de satisfaction, lui demandant implicitement de te dévorer. Il te décolle de ton emplacement pour te plaquer au mur, tu n’as qu’une envie : être à lui. Tu sens son doigt s’approcher dangereusement d’une zone que tu n’avais jamais laissé être visitées auparavant. Lorsque son doigt s’éloigne tu soupires, mécontent. Pourquoi s’arrête-t-il en si bon chemin ?! Tu fronces les sourcils faisant la moue quand il pose une main sur ta bouche. En enfant que tu es, tu sors ta langue lui léchant l’intérieur de la paume. Tu espères que ce contact l’excite et le pousse à reprendre son geste. Joo s’est calmé. On entend plus que le souffle de tes narines expirant lourdement d’excitation. Tu tends l’oreille entendant les bruits de pas que Joo avait repérés bien avant toi. Tes jambes retrouvent le sol. Quand il te regarde à nouveau, tu te lèches les lèvres le regard baissé sur les siennes. Et si vous continuiez ? Quelqu’un était là, mais Joo avait mis en place le sort qui vous rendait invisibles. C’était tentant de vous forcer à être silencieux. C’était alléchant de vous savoir épiés. C’était émoustillant de réellement risquer d’être surpris.

Tu ne peux pas te faire à l’idée de vous en arrêter là. Pas déjà ?! Tu avais envie de taper du pied, de le serrer aussi fort que possible contre toi pour qu’il ne puisse partir même s’il le voulait. Vos lèvres se caressants, tu souris faisant non de la tête. Ce n’était pas une personne qui allait vous séparer. Pas maintenant que vous vous étiez trouvés… Retrouvés ? Tu enroules tes mains autour de sa taille. Tu tires la langue demandant un autre, un dernier, baiser passionné dont lui seul avait le secret. Tu caresses le bas de son dos, te demandant comment vous pouviez passer d’une fureur ardente à une douceur paisible et presque chaste. Tu hésites. Cette interruption te fait retrouver tes esprits, du moins une partie. Aviez-vous le droit de continuer ? Tu étais déjà un trompeur. Vous n’étiez pas passés à l’acte avec Ryu mais tu avais déjà été trop loin, physiquement mais surtout mentalement. Tu n’aimais pas cette idée, d’être un petit con qui ne pense qu’à lui alors qu’il a des obligations envers une autre personne. Pourtant c’était déjà ce que tu étais, alors un peu plus ne changerait rien… Tu rapproches ton ventre de celui de ton homme en baissant tes mains sur ses fesses. Tu sens ses tétons durs sur ton torse. Tu caresses avec délicatesse sa fesse avant de soulever ta main et de la claquer. Tu frémi sentant des picotements dans ta paume. Tu te mords la lèvre inférieure. Ce son ravive ta soif. Pourquoi devriez vous arrêter en si bon chemin ?






illo
Revenir en haut Aller en bas
Professeur de potions
Ryu Joo Han
Alohomora





Ryu Joo Han
Professeur de potions
7/5/2018, 3:33 pm


It's been a long day








+++ Joo Han n’aurait jamais soupçonné cette partie de lui … jamais un homme ne l’avait attiré, jamais un homme n’avait pu créer de désir chez lui … Et encore moins le posséder jusqu’à lui faire perdre le contrôle … Ce n’était pas qu’une question de désire, ce n’était pas juste une envie de l’embrasser, de le posséder, c’était ce besoin primaire de ne faire qu’un avec lui. De le sentir, de le toucher, comme si finalement sa vie en dépendait. C’était si frustrant pour lui de devoir se retenir. Ça n’aurait tenu qu’à lui il serait déjà en train de lui faire l’amour. Joo Han savait qu’il était un dominateur, de ceux qui aiment imposer la soumission, de voir ses amantes tomber à genoux devant lui et lui obéir. Mais ce qu’il détestait paradoxalement c’était les gens trop dociles, les craintifs. Oh qu’il détestait voir une femme lui obéir aux doigts et à l’œil. Non lui ce qu’il voulait c’était faire plier les plus défiants, c’était de faire plier les plus effarouchée … et il réalisait qu’il avait trouvé en Jae Sun le parfait équilibre entre soumission et résistance … parce que rien ne l’excitait plus que de le voir lui tenir tête, le repousser, prendre le dessus et s’imposer, le sucer, lui faire prendre son pied … Joo Han doit lutter pour ne pas céder à ces souvenirs bien trop récent et bien trop ancré sur sa peau pour réussir à se contrôler. Il souffle, gémit,  frissonne. Il le fixe avec un désir si imprégné dans son regard qu’il pourrait les consumer en un instant. Ils devraient arrêter … arrêter maintenant mais …

 
Non.
 
Non, bien sûr que non, le gosse n’a lui non plus pas envie de partir. Comme le pourraient-ils ? C’était devenu beaucoup trop intense et passionné pour qu’ils aient l’esprit assez clair … Il n’avait pas envie, oh ça non, il n’avait pas envie de le quitter mais son côté raisonnable lui criait de le fuir. Pourtant Joo Han savait qu’ils allaient le regretter. Il ne pouvait pas faire ça ainsi, ici, pas comme ça … Il le savait mais il n’arrivait pas à lutter contre son désire. Le professeur tentait de se convaincre que ce n’était qu’une histoire d’hormones, de phéromones, qu’ils étaient bien plus fort que ça … Qu’il pouvait lui, au moins, lutter contre ça … Mais la vérité c’est qu’il n’en avait aucunement envie … Il n’essayait même pas … c’était comme savoir qu’il ferait une connerie sans pouvoir s’en empêcher. Pourtant au fond de lui Joo Han savait qu’il ne regretterait jamais de sauter le pas avec Jae Sun, mais il voulait simplement le faire … correctement. Ils auraient largement le temps de s’envoyer en l’air au détour d’un couloir mais pour ce soir ... il n’avait pas envie de lui faire de mal, et lui-même n’était pas certain de savoir si prendre correctement … IL grogne contre les lèvres de son amant qui l’empêche de se reculer, de partir. Joo Han n’est qu’une âme faible face au désir de son amant, et il plie, comme jamais il n’avait céder, il plie face à cet homme qu’il aimait. Il le plaque face au mur et vient lui bouffer la nuque. Débat toi si l’envie t’en prends, mais tu es à moi ce soir.
 
Désormais totalement nu, il colle son corps au sien et pante son érection entre le galbe des fesses de Jae Sun sans le pénétrer pour autant. Il se meut contre lui en geignant contre la peau perlé de sueur de Jae Sun en attrapant le sexe de son amant. Il le sent tellement tendu sous ses doigts que son érection doit lui être douloureuse.  Il se presse contre lui, taquinant cette entrée pour attiser son désire alors qu’il se met à le masturber. Ses coups de poignets sont précis, bien pensé pour faire gonfler ce plaisir en lui. Ses lèvres se perdent dans ce cou et le marque alors que son bassin se frotte contre ses fesses rebondies. Bon sang qu’il a envie de lui, de le prendre, la maintenant, tout de suite, il use de sa force pour maintenir Jae Sun face au mur mais ses coups de poignets le force à se cambrer et lui offrir ses fesses. Joo Han semble totalement maîtriser la situation comme s’il avait toujours fait ça, pourtant c’était bien la première fois qu’il touchait un homme. Joo était un bon amant, un excellent amant et il se rendait compte qu’il y avait peu de différence pour attiser le désir d’une femme et d’un homme … et il savait étrangement bien quoi faire pour cambrer le plus jeune vers lui… bon sang que cette vue qu’il avait sur le creux de ses reins creusés le rendait fou…
 
 
illo
Revenir en haut Aller en bas
Chollima
Ho Jae Sun
Alohomora





Ho Jae Sun
Chollima
9/5/2018, 12:52 am


It's been a long day








+++ Cette claque sur ses fesses avait été bruyante. Tu l'avais faite dans l'intention d'éveiller la curiosité du préfet. Malheureusement, ton plan n'avait pas marché. Il était reparti sans vous démasquer. Déçu, tu profites du fait que RYU soit dans tes bras. Tu ne le quittais pas du regard, comme si tu lorgnais sur un tiramisu. Tu l'aimais vraiment. Tu voulais lui crier, qu'il sache tout ce dont tu serais capable de faire pour le voir sourire, entendre le son de sa voix, et tout simplement le rendre heureux. Ça oui, tu crevais d'envie de le rendre heureux. Ton unique but a présent était qu'il ne connaisse plus jamais la souffrance. S'il te voulait a ses genoux, tu te jetterais à terre dans la seconde. Cette petite voix qui te disait que tu n'allais quand même pas te soumettre juste pour personne, que tu avais trop de fierté, tu l'entendais mais tu ne l'écoutais pas. Tu en avais marre qu'elle gâche tout. Pour ton âme sœur tu serais prêt aux plus grandes folies, à remettre tout en question. Tu n'aurais jamais cru que ça pourrait t'arriver. C'était probablement ce qu'on appelait être aveugle par amour.

Vos deux corps étaient attirés l'un à l'autre comme deux aimants, impossible de vous séparés même avec force et volonté. Il t'avait pris par surprise. Tu te retrouvais à nouveau sous son joug, tu faisais face au mur. RYU te maintenait fermement contre celui-ci, tu n'arrivais plus à bouger prisonnier de son désir pour toi. A vrai dire tu t'en fichais, tout ce que tu voulais c'était que cette tension redescende une bonne fois pour toute. Que vous vous laissiez enfin aller à ce qui vous rendait fous et vous faisait passer pour des bêtes sauvages : votre envie de baiser l'autre sur le champ. Tu n'en pouvais plus. Tu étais impatient. Quand il agrippa ton sexe et qu'il avait commencé les mouvements de sa main, tu avais presque quitté ton corps. Tu étais dans un coin de la pièce à vous observer profiter l'un de l'autre. Son membre entre tes fesses te rendait fou. Tu n'avais jamais senti ça et tu te surprenais à l'aimer. Tu avais la sensation qu'il allait entrer à chaque fois que vos bassins se rapprochaient. Tu en avais envie mais tu appréhendais tout de même qu'il le fasse sous le coup de l'excitation, qu'il te pénètre sans que tu ne sois prêt, et d'ailleurs tu ne l'étais peut être pas tout à fait, prêt. Tu allais lui dire mais tu n'arrivais pas à prononcer quoi que se soit. Les seuls mots que ta bouche expulsait n'étaient que des "oui" ou des "ohh putain" ou des gémissements de plaisir. Tes mains se crispaient contre ce mur qui te servait de rampart. Tu sentais à peine la main de RYU qui recouvrait la tienne. Tu te mordis la lèvres. Tu ne voulais pas qu'on t'entende, tu n'étais pas une petite pute qui gémissait comme une chienne. Pourtant c'était bien ce que tu étais, t'étais bien la petite pute de RYU. Tu te cambrais de plaisir, mais aussi pour frotter davantage ton cul contre sa queue. Tu sentais que t'allais venir. Tu n'arriverais plus à te retenir plus longtemps. Ta tête se pencha en arrière. RYU savait parfaitement comment te faire atteindre le clímax. Tu n'arrivais plus à te maîtriser. Te pinçant les lèvres, tes grognements se faisaient tout de même entendre. Ryu déposa des baisers dans le creux de ton cou, alors tu tournais la tête vers lui pour lui murmurer < Plus vite... >. Tu accélèrais tes mouvements de bassin accompagnant sa main et envoyant sa queue plus loin entre tes fesses. Tu posas ta main droite sur la fesse droite de Ryu, la malaxant pour augmenter votre plaisir à tous les deux. < Vas-y, fais moi jouir. >. Tu ne pouvais pas t'en empêcher, hein ?! Malgré que RYU ait reprit le contrôle, tu ne pouvais pas te soumettre totalement. Même si ça voulait dire, ne faire qu'une petite remarque. Tu plantas tes doigts, malgré toi, dans sa peau y laissant des marques. Tes muscles se contractant, tu resserrais tes doigts dans ta paume. Tu haletais, ton souffle court résonnant dans tout l'alcôve et peut être même dans toute la tour d'astronomie. Les doigts de Ryu sur ton gland ne te laissaient plus aucune issues. Ta bouche s'ouvrit et tu gémis lourdement et bruyamment, pendant que tu jouis dans sa main. Du sperme éclaboussa le mur et un peu ton ventre. Ton corps se détendit enfin. Tu courbas ton dos et ta tête retomba sur le mur. Tu tentas de reprendre ton souffle alors que tu expirais encore des "ahh" de satisfaction. Tu te lèchas les lèvres et réalisas que tes yeux étaient fermés. Tu sentais la main de RYU sur le haut d'une de tes cuisses. Ça te soulagerait. Ce geste semblait si doux après une telle intensité. Une carresse pleine de tendresse, pour te calmer. Ta tête était baissée vers ton sexe. Quand tu rouvris les yeux, tu pouvais voir la main de RYU pleine de ton sperme. Tu rougis réalisant ce qu'il venait de se passer. Vous vous étiez laissés entraîner sur un chemin sans retour. Vos fluides étaient maintenant impliqués dans l'histoire. D'ailleurs, vous en aviez pas fini. Tu avais jouis mais RYU t'avait interrompu avant que tu ne puisses le goûter. Tu te redressas. Tes épaules à hauteur des siennes et ton visage à côté du sien. Tu collas ta joue contre la sienne. Il te fallait un peu de tendresse de la part de RYU. Tu le connaissais en homme expérimenté et peut être qu'on pourrait même qualifier de froid. Mais, toi, tu voulais te blottir contre lui. Tu voulais qu'il te montre de l'affection. Tu voulais être son petit lapin et pas qu'il te prenne pour sa petite pute.






illo
Revenir en haut Aller en bas
Professeur de potions
Ryu Joo Han
Alohomora





Ryu Joo Han
Professeur de potions
9/5/2018, 1:43 am


It's been a long day








+++ Il suffoque, l’intensité du moment fait exploser son cœur. Jamais il n’a ressenti ça avec aucune de ses maitresses. Ni l’interdit de coucher avec ces femmes mariées, ni la bestialité de ces filles d’un soir ne lui avait donné autant d’émotions et de sensations que ce soir. Jae Sun n’avait pas eu à faire grand-chose pour que tout son corps le réclame. Des caresses, des regards, des soupirs et Joo Han était tombé à genoux devant lui. Il pouvait bien le dominer physiquement, mais il n’était à genoux devant son prince. Bon sang que cela lui faisait du bien de pouvoir enfin libérer ce qu’il tentait vainement de cacher depuis des mois … il s’était longtemps menti à lu même, préférant se cachant derrière une affection fraternelle bien que ses nuits étaient peuplés de rêves de Jae Sun et pas de ceux qu’on peut partager. Ce soir, cet instant, ses lèvres sur les siennes, lui insufflait un second souffle. Le courage de faire face à la vérité, cette vérité partagée … Il était à lui et il était sien … Il fallait bien admettre qu’il avait été surpris de ce je t’aime. Non pas qu’il soit trop tôt pour lui, non pas qu’il y ait un temps pour s’avouer les sentiments … mais Joo Han avait besoin de plus de courage pour pouvoir lui avouer, lui dire, rendre cette soirée ancré dans leur vie. Le début ? La fin ? Il n’était même plus certains de ne pas rêver. Des sentiments aussi forts était-ce réelle ? Il avait peur de rêver, alors si c’était bien un songe qu’on ne le réveille jamais car il vivait la plus belle nuit de sa vie … L’effervescence de leur deux corps le rendait dingue, le rendait docile. Il suivait les coups de bassins de son amant en resserrant sa main. Sa seule et unique quête étant de le rendre heureux, toujours du moins de l’euphoriser avec un orgasme si puissant qu’il en perdrait l’esprit … Oh oui il voulait autant de bien que ça … Sa main brûlante massait son sexe tendu alors que lui-même devait se retenir pour ne pas venir le posséder d’un coup de bassin bien placé. Parce que Joo Han n’avait pas envie de ça pour Jae Sun, pas ce soir. Et c’était bien cette seule force de volonté qui le retenait de faire une connerie.

 
Le corps brûlant de Jae Sun semblait atteindre le paroxysme du plaisir à coup de tremblement incontrôlable. Joo Han sourit satisfait et grogna de désir en sentant Jae Sun se cambrer ainsi, bouger ses fesses réclamant autant d’attention qu’il voulait en donner. Joo Han grimace tant il est difficile pour lui de résister à l’envie d’entrer en lui et se concentre sur son poignet qui commence à avoir une crampe. Mais le plus vieux se refuse d’arrêter, et si Jae Sun veut lui donner des ordres alors Joo Han lui obéira, s’aveuglant sous cette supplique. Quand il sent enfin Jae Sun jouir  et exploser de son liquide chaud dans le creux de sa main il grogne de plaisir en mordant sa lèvre pour s’empêcher de venir se caresser lui-même … Le corps frêle et épuisé du plus jeune tombe en avant et Joo Han malgré sa main prise caresse les cuisses du plus jeune de sa main libre. Puis il vint glisser son avant-bras autour de son ventre pour le soutenir, l’aidant à se redresser alors que Jae Sun, dans une tendresse infime, vient se blottir contre lui … Joo Han tente d’ignorer comme il peut son érection douloureuse, et murmure un sort pour nettoyer sa main sans avoir à utiliser sa baguette. Un sort très simple et discret qui lui permet de tourner le garçon vers lui …
 
Il passe sa main désormais propre sur sa joue et l’attire à lui en se tenant à sa hanche. Il presse le ventre du garçon contre le sien pour pouvoir l’embrasser avec douceur et tendresse. Une tendresse dont il fait rarement preuve. Une tendresse qu’il attendait très certainement de pouvoir ne réserver qu’à Jae Sun. Ses lèvres cherches celles du plus jeunes pour jouer avec, d’un jeu beaucoup plus calme et doux. Il le laisse retrouver son souffle et vient l’enlacer, soutenant ce corps contre le sien pour mieux ancrer sa chaleur au sien. Puis craignant que Jae Sun n’aie froid, sa peau couverte de sueur, il attire sa cape à eux et enroule leur deux corps dessous, levant ses yeux acier vers celui brillant du plus jeune. il n’a pas de mot pour décrire ce qu’il ressent à cet instant et vint embrasser son front en fermant les yeux … une récompense remplie de douceur et d’amour inavoué mais bien visible. Il vient nicher son visage dans le creux de son cou pour laisser la quiétude de l’instant les envelopper et leur tenir chaud comme le fait si bien cette cape. Son corps épousant le sien comme une évidence, Joo Han en oublie son plaisir abrogé et savoure l’instant présent. Cet instant unique. Il sourit finement avant de simplement murmurer de sa voix rauque et cassé « t’es à moi maintenant … »
illo
Revenir en haut Aller en bas
Chollima
Ho Jae Sun
Alohomora





Ho Jae Sun
Chollima
9/5/2018, 3:14 am


It's been a long day








+++ C'était donc ça, se sentir a sa place. Fini les mensonges, les faux semblants, la peur au ventre. Ce soir vous vous étiez trouvés. Une partie de cache cache qui avait duré un peu trop longtemps. Tu regrettes de ne pas avoir partagé tes sentiments bien avant mais tu sais qu'une fois sorti de cet alcôve, la réalité allait te revenir en pleine gueule. Un couplé homosexuel. C'était donc ce que vous étiez devenus ? En plus une relation élève et professeur... Tu avais une meuf... Tu n'arrivais pas à l'oublier parce que, au final, tu n'étais qu'un petit lapin qui ne voulait faire de mal à personne... Tu ne voulais pas penser à tout ça. Tu ne voulais pas gâcher ce moment qui resterait à jamais gravé en toi. Mais RYU était là. Il était là pour toi, pour t'aider, pour t'aimer. Tu n'avais plus rien à craindre. Il n'arrivait peut être pas aussi facilement que toi à dire ce qu'il ressentait mais il te le faisait comprendre. Tu le connaissais depuis suffisamment longtemps pour savoir qu'il tenait à toi comme à personne. Tu n'as même pas besoin de lui demander d'être tendre qu'il l'est instinctivement avec toi, sachant que tu manque gravement d'affection. Sa main sur ta joue est ciimme un baume au cœur. Il t'apaise, t'amenant sur un petit nuage. Ces gestes te servant de preuve d'amour, tu rêves du jour ou tu entendra clairement ces mots sortir de sa bouche pulpeuse. Pourtant, tu devrais savoir que le dire ne signifie pas le penser et que le penser ne signifie pas le dire. Tu connaissais les deux. Tu avais déjà dit "je t'aime" par politesse et RYU te montrait son amour dans parvenir à le formuler. Mais tu avais ce besoin d'être rassuré, et les mots étaient là seule chose qui pouvait te soulager. Tu lui avais avouer tantôt tes sentiments. Tu te demandais si ça n'avait pas été trop tôt ? Mais vous vous connaissiez depuis si longtemps que ce n'était pas trop tôt. Tu le savait depuis déjà belle lurette que l'aimais plus que comme un frère, un ami. Tu l'avais toujours su donc ça avait été naturel pour toi de lui avouer ce soir. Ça t'avait même échappé. Comme tout d'ailleurs. Cette nuit n'avait pas été préméditée et Tait sûrement ce qui faisait son charme. Vous aviez juste compris au même moment que vous ne pouviez plus porter vos masques.

Tu sens toujours l'érection de RYU. Tu ne l'a pas oubliée. Tu veux juste profiter de ce moment que t'offre ton amant. Ses baisers sont calmes. La passion est différente. Vous vous désirez toujours autant mais vous prenez votre temps. Rien ne presse, vous êtes maintenant destinés à rester ensemble jusqu'à la fin. Ton cœur se calme, ta température corporelle redescendant. Des gouttes perlent sur des mèches de tes cheveux. Tu sens un voile se poser sur tes épaules. RYU pensant à tout et surtout à toi avait amené sa cape pour vous réchauffer. Ses yeux d'un bleu électrisant dévoilaient l'ardeur de ses sentiments pour toi. Il déposa un baiser chaste sur ton front, qui te fit comprendre que tu pouvais être sa petite pute mais que ça n'était pas une chose péjorative, avant de reposer sa tête dans ton cou. C'était certain que tu étais à lui, mais ce, depuis toujours. Jamais tu n'avais été fidèle à quelqu'un d'autre. Doucement tu poses ta tête sur la sienne, ton nez dans ses cheveux sentant son odeur si exquise. Ta main se glisse sur sa nuque et tu la caresses jouant un peu avec ses cheveux. < Toujours. > tu finis par lui répondre. Tu lèves ta main du bras sur lequel joo se reposait pour la poser sur son épaule y faisant une légère pression pour lui dire de se redresser ou du moins de se maintenir droit. Ton autre main parcourt son dos pour s'arrêter au creux de ses reins pendant que tu déposes des baisers sur le côté de son cou et son épaule. Il t'avait demandé de lui montrer à quel point tu l'aimais et tu comptais bien lui prouver. Tu t’agenouilles devant son pénis. Tu caresses le bas de son ventre de ta main droite. Tu t'y perds presque, hypnotisé par ce contact. Tu t'étais toujours interdit de le toucher alors que tu le voulais tant. Tu ne cherches pas vraiment à le teaser mais plus à lui montrer que es prêt à te soumettre, que tu es prêt à recevoir ses ordres. Tu te baisses légèrement pour atteindre ses boules. Cette zone était particulièrement sensible et c'était quitte ou double, il pouvait soit adorer soit détester. Alors tu les lèches du bout de la langue et y déposes des baisers, essayant de le regarder cherchant son approbation. Tu ne t'y arrêtes pas longtemps. Tu atteins le bas de sa fesse que tu suçotes et que tu lèches. Tu glisses ta langue entre ses fesses, te plongeant davantage entre ses cuisses, léchant son orifice et l'imbibant de salive. Tu t'attardes sur quelques zones érogènes mais tu sais bien que tu ne peux pas le faire jouir ainsi. Tu te repositionnes devant son pénis et le lèches. Tu joues avec son gland, faisant des mouvements rapides tout autour. Tu l'aspires dans ta bouche continuant ton jeu de langue. Avec ta main tu t'aides à le satisfaire. Tu n'arrives toujours pas à gober entièrement son membre mais Rome ne s'est pas faite en une nuit, n'est ce pas ? Tu le sens, il est proche, tu peux déjà goûter son precum. Tu ne sais pas s'il va ejacular dans ta bouche ni si tu veux qu'il le fasse. Tout ce que tu veux c'est que lui aussi atteigne le 7eme ciel.






illo
Revenir en haut Aller en bas
Alohomora





Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 3 sur 4Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Feel The Fire :: Campus de Ehwa :: Ancien Palais-
Sauter vers: